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Le Travail qui relie est une
méthodologie
d'exploration en groupe

développée par l'écophilosophe et activiste Joanna Macy
et ses collègues depuis les années 1970. 
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Des milliers de personnes de par le monde ont déjà participé à la spirale du Travail qui relie dont le but est de soutenir le désir et la capacité à prendre part à la guérison de notre monde. Conçue en réponse à l'angoisse latente qui paralyse nos sociétés, cette approche aide les personnes à accueillir pleinement ce qu’elles ressentent pour le monde tout en trouvant le courage et les liens de solidarité dont elles ont besoin pour s’engager. 

 

 "Les dangers que nous encourons à présent sont si omniprésents et en même temps si difficiles à distinguer – et douloureux à voir quand on parvient à les regarder en face – que l'anesthésie nous touche tous. Toute le monde en est affecté.  Personne n'est immunisé contre le doute, le déni ou l'incrédulité quant à la gravité de notre situation et à notre capacité à changer cet état de fait. Et pourtant, au-delà de tous les dangers encourus, des changements climatiques aux guerres nucléaires, aucun n'est aussi grave que notre paralysie." 

                                                                                     Joanna Macy, Ecospychologie pratique, p. 32

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Le défi vital auquel sont confrontées nos sociétés est d'initier le “changement de cap”, ce passage d’une économie de croissance destructrice à une société qui soutienne la vie. Le Travail qui relie constitue une aide puissante pour s’engager dans ce sens en nous amenant à:

 

  • Penser et vivre l’écologie autrement: explorer notre reliance au reste du monde vivant et prendre conscience que nous en faisons intimement partie.

  • Reconnaître notre peine pour le monde comme une preuve de notre interdépendance avec tout le vivant, et participer ainsi un processus de guérison collective de notre relation à la terre. 

  • Affiner nos perceptions quant à l’effondrement probable de la société de croissance industrielle et l’émergence d’une société qui soutienne la vie. 

  • Remettre en perspective nos vies, réfléchir sur nos dons et clarifier nos intentions pour prendre part au changement de cap. 

  • Tisser des liens durables avec d’autres personnes  pour trouver un soutien mutuel dans nos projets et construire consciemment des réseaux solidaires et résilients autant à un niveau local, que par delà les frontières (les réseaux des tempêtes - Rough weather networks) 

 

 

 

“Reconnectés à notre désir le plus profond, nous serons 

capables de prendre part à ce Changement de Cap.

Nous choisirons la vie.” 

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J. Macy, Ecospychologie pratique, p. 32

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